Braveheart (1995)
Fiche technique
- Nom français : Braveheart
- Nom original : Braveheart
- Réalisateur : Mel Gibson
- Avec : Mel Gibson, Sophie Marceau, Patrick McGoohan, Angus Macfadyen
- Année de production : 1995
- Genre : Historique
- Bande-son : James Horner
- Note personnelle : 8/10
- Note Internet Movie Database : 8.4/10
Classification
- Humour : ★
- Action : ★★★★★
- Suspense : ★
- Effets spéciaux : ★★★
- Sentiment : ★★
- Peur : ★
Résumé
Braveheart nous raconte l'histoire du mythe écossais, William Wallace. Réalisé par Mel Gibson, il joue également le rôle du héros (tu m'étoooooonnes ...). Bref, multiples péripéties, qui le pousse à se révolter alors qu'au début il était prêt à se soumettre aux anglais. Mais bon. C'est Mel Gibson. Donc on touche pas à sa femme ... Cette dernière se fait égorgé alors vous imaginez bien que l'Wallace est pas jouasse (et voilà que je fais des rimes, c'est pitoyable). Après cela, le soulèvement révolutionnaire écossais se met en place, et on nous fait voir quelques scènes qui devaient être obligatoirement montrées, comme la bataille de Stirling, où les écossais foutent une bonne branlée aux anglais (ouiouioui, si vous avez déjà joué à Age of Empire II, ça doit vous rappeler des souvenirs). Soit dit en passant, l'élément principal de cette bataille, c'était un pont. Mais visiblement c'était chiant à filmer alors ... bah ils l'ont pas mis, pis c'est marre. On va pas s'laisser emmerder par un pont, si ?
Les éléments qui suivent révèlent la fin de l'histoire.
Puis, commencent les trahisons, amenant la mise à mort du héros qui, après s'être fait écartelé et mutilé, hurlera d'une puissance salvatrice : "FREEEEEEEEEDOOOOOOM". C'est, dit-on, la réplique culte du film. Remarquez que Mel Gibson aura presque le même rôle dans The Patriot. Visiblement, c'est important la liberté pour Mel. C'est pas l'image qu'il nous donne dans ses interviews quand il parle des gens de couleur et des homosexuels. Mais bon, c'est un autre débat. Au final donc, le héros meurt en héros (ok, c'est nul comme phrase, mais j'espère m'avoir faire compris ... m'être fait compris ... M'ÊTRE FAIT COMPRENDRE !).
Les éléments qui suivent révèlent la fin de l'histoire.
Puis, commencent les trahisons, amenant la mise à mort du héros qui, après s'être fait écartelé et mutilé, hurlera d'une puissance salvatrice : "FREEEEEEEEEDOOOOOOM". C'est, dit-on, la réplique culte du film. Remarquez que Mel Gibson aura presque le même rôle dans The Patriot. Visiblement, c'est important la liberté pour Mel. C'est pas l'image qu'il nous donne dans ses interviews quand il parle des gens de couleur et des homosexuels. Mais bon, c'est un autre débat. Au final donc, le héros meurt en héros (ok, c'est nul comme phrase, mais j'espère m'avoir faire compris ... m'être fait compris ... M'ÊTRE FAIT COMPRENDRE !).
J'vous assure que quand il hurle "Liberté" au lieu de "Freedom", vous êtes proches du suicide, bien que
Jacques Frantz soit le meilleur doubleur du monde. On change pas une phrase comme ça ...
Jacques Frantz soit le meilleur doubleur du monde. On change pas une phrase comme ça ...
Au final
On peut pas le nier, on passe un bon moment ... Même si je persiste à croire que 177 minutes, c'est trop long pour un film. Non mais je chipote. C'est bien conduit, les scènes de bataille sont bien foutues, et le scénario est vachement bien construit (écrit par Randall Wallace au passage ... C'EST UN SIGNE !). Film de Mel Gibson oblige, il a pas lésiné sur le sang, comme d'habitude (voire La Passion du Christ qui sortira 9 ans plus tard et qui fera légèrement scandale ... ). Cela dit, le film est considéré comme 89ème meilleur film de tous les temps par les internautes du site www.imdb.com (la Bible :D). Et il a raflé 5 Oscars au passage, dont celui du meilleur film meilleur film. C'est donc un bon gros blockbuster, mais très réussi dans l'ensemble.
Au niveau historique
Comme dirait Alexandre Astier : "Ah c'est sûr, on fait pas d'omelettes ... On fait pas d'omelettes !". Parce que ouaaaais là c'est vrai que ça pourrait être mieux. Mais bon, d'un côté, j'ai envie de dire tant mieux, parce que s'ils avaient réellement respecté tous les usages, bah le film aurait sincèrement été chiant ... Mais bon ... L'entretien entre William Wallace, qui était quand même un gros bouseux à la base, qui rencontre Isabelle de France, la grosse bourgeoise ... Bah voilà quoi, faut p'têtre pas pousser ! D'autant plus que temporellement, cette rencontre est impossible ; Isabelle de France avait 13 ans au moment de la mort du héros écossais. Alors à moins d'être atteinte d'une puberté ultra précoce, je vois pas ... Bref ! Cela dit, c'était voulu de la part de Mel et du scénariste. Leur but, c'était plutôt de réaliser une bonne fiction historico-dramatique, donc au final le pari est quand même réussi. Mais ce serait faux de prendre le film comme une référence historique à tous les égards.